Qu'est ce que l'Hypnose Ericksonienne?
Pathologies
Comme dans toutes les addictions, le tabagisme procède de l’intime, de l’estime de soi confrontés au monde extérieur et à ses fluctuations.
La nocivité de la nicotine (classifiée parmi les 5 drogues les plus « dures » qui soient, au côté de la cocaïne et l’héroine) est une chose admise par tout le monde, cependant, les questions se posent toujours dans une mise en scène de son propre théâtre intérieur :
- Pourquoi est-ce que je fume ?
- Pourquoi est-ce que je n’arrête pas ?
- Comment se fait il que je n’arrête pas ?
- Que m’apporte la cigarette ?
Et aussi
- Pourquoi devrais arrêter ?
- Si je pouvais seulement maîtriser ma consommation ?
- Qu’est-ce que c’est que cette société qui interdit tout et à tout le monde ?
- Je ne supporte pas l’idée qu’on m’oblige à faire quelque chose je ne désire pas...
Mais encore
- Je sais que ce n’est pas bien, mais ça n’est pas trop grave…
- J’ai déjà arrêté, mais j’ai replongé..
- Il y a des moments de la journée où la cigarette est importante
- Les non-fumeurs m’agressent au nom de quoi ?
Et aussi
- Est-ce que je suis capable d’arrêter ?
- Est-ce que je vais oser arrêter et lâcher ce que j’ai construit tout autour ?
- Quel contrat entre moi et moi-même faut il passer ?
- Quelles énergies à dépenser et pourquoi ?
A toutes ces questions, et bien d’autres encore, posées par les fumeurs, les réponses apportées sont variées et complémentaires (tout est bon à prendre) : médicaments prescrit par votre médecin traitant ou tabacologue, les patches, l'acupuncture, l'homéopathie et l’hypnose bien entendu.
Pourquoi choisir l’hypnose ?
L’hypnose thérapeutique, et nous insistons sur le terme thérapeutique afin de ne pas confondre avec l’hypnose de spectacle des hypnotiseurs, va être un des nombreux moyens à notre disposition.
Il n’y a rien de magique, si ce n’est qu’une autre vison des choses qui se sont greffées autour de l’addiction. Il faut se méfier des pseudo-thérapeutes hypnotiseurs qui vous prédisent l’arrêt du tabac, le sevrage tabagique, en 1 séance.
Combien de consultations en hypnose et thérapie brève aurai-je besoin ?
En général 5-6 consultations seront nécessaires pour traiter ce qu’il y a autour du tabac.
J’ai entendu dire qu’une seule séance d’hypnose suffisait…
Non, cela n’est pas possible, régler l’addiction en une séance relève du fantasme.
C’est dans ce cas de figure, qu’il risque d’y avoir un déplacement de symptômes.
Les personnes qui arrivent à arrêter de fumer en une seconde, sont souvent de très gros fumeurs qui viennent de prendre conscience du risque mortel imminent, un peu comme un électrochoc, un choc traumatique « positif »
Pourquoi les séances d’hypnose ne sont-elles pas prises en charge et remboursées ?
De la même façon que lorsque vous avez pris du plaisir à commencer de fumer sans être pris en charge par la sécurité sociale, vous ne serez pas remboursé pour arrêter de fumer.
Y a-t-il des risques de rechutes ?
Oui, bien entendu, mais comme dans toute thérapie, la rechute fait partie de la guérison.
Le travail sur les addictions est un travail de longue haleine, et il est normal de devoir aider le patient même après le sevrage tabagique, des fois des années après.
La nocivité de la nicotine (classifiée parmi les 5 drogues les plus « dures » qui soient, au côté de la cocaïne et l’héroine) est une chose admise par tout le monde, cependant, les questions se posent toujours dans une mise en scène de son propre théâtre intérieur :
- Pourquoi est-ce que je fume ?
- Pourquoi est-ce que je n’arrête pas ?
- Comment se fait il que je n’arrête pas ?
- Que m’apporte la cigarette ?
Et aussi
- Pourquoi devrais arrêter ?
- Si je pouvais seulement maîtriser ma consommation ?
- Qu’est-ce que c’est que cette société qui interdit tout et à tout le monde ?
- Je ne supporte pas l’idée qu’on m’oblige à faire quelque chose je ne désire pas...
Mais encore
- Je sais que ce n’est pas bien, mais ça n’est pas trop grave…
- J’ai déjà arrêté, mais j’ai replongé..
- Il y a des moments de la journée où la cigarette est importante
- Les non-fumeurs m’agressent au nom de quoi ?
Et aussi
- Est-ce que je suis capable d’arrêter ?
- Est-ce que je vais oser arrêter et lâcher ce que j’ai construit tout autour ?
- Quel contrat entre moi et moi-même faut il passer ?
- Quelles énergies à dépenser et pourquoi ?
A toutes ces questions, et bien d’autres encore, posées par les fumeurs, les réponses apportées sont variées et complémentaires (tout est bon à prendre) : médicaments prescrit par votre médecin traitant ou tabacologue, les patches, l'acupuncture, l'homéopathie et l’hypnose bien entendu.
Pourquoi choisir l’hypnose ?
L’hypnose thérapeutique, et nous insistons sur le terme thérapeutique afin de ne pas confondre avec l’hypnose de spectacle des hypnotiseurs, va être un des nombreux moyens à notre disposition.
Il n’y a rien de magique, si ce n’est qu’une autre vison des choses qui se sont greffées autour de l’addiction. Il faut se méfier des pseudo-thérapeutes hypnotiseurs qui vous prédisent l’arrêt du tabac, le sevrage tabagique, en 1 séance.
Combien de consultations en hypnose et thérapie brève aurai-je besoin ?
En général 5-6 consultations seront nécessaires pour traiter ce qu’il y a autour du tabac.
J’ai entendu dire qu’une seule séance d’hypnose suffisait…
Non, cela n’est pas possible, régler l’addiction en une séance relève du fantasme.
C’est dans ce cas de figure, qu’il risque d’y avoir un déplacement de symptômes.
Les personnes qui arrivent à arrêter de fumer en une seconde, sont souvent de très gros fumeurs qui viennent de prendre conscience du risque mortel imminent, un peu comme un électrochoc, un choc traumatique « positif »
Pourquoi les séances d’hypnose ne sont-elles pas prises en charge et remboursées ?
De la même façon que lorsque vous avez pris du plaisir à commencer de fumer sans être pris en charge par la sécurité sociale, vous ne serez pas remboursé pour arrêter de fumer.
Y a-t-il des risques de rechutes ?
Oui, bien entendu, mais comme dans toute thérapie, la rechute fait partie de la guérison.
Le travail sur les addictions est un travail de longue haleine, et il est normal de devoir aider le patient même après le sevrage tabagique, des fois des années après.
