Samedi matin, 11 heures, et comme tous les samedis je reviens du tennis, tantôt auréolé d’une victoire et tonique comme à mes 2O ans, tantôt et le plus souvent perclus de douleurs pour cause de défaite, car comme chacun sait, la douleur ressentie par les vainqueurs est plus supportable que la douleur ressentie par les vaincus.
Et là, à bord de ma voiture, de retour sur Paris, j’allume, comme dans un rituel sabbatique, la radio sur France Inter (la radio de ceux qui ont quelque chose entre les oreilles disait-on), pour écouter, entendre, vibrer, illuminer mes neurones d’une couleur encore inconnue à mes yeux, ressentir jusqu’au plus profond de moi, la voix hypnotique, presque monocorde de Jean-Claude Ameisen, me raconter ses dernières découvertes scientifiques…
Et là, à ce moment précis, je range ma voiture pour ne point être dérangé dans ce monologue, où Jean-Claude s’adresse à moi, oui, à moi seul.
Oui, il n’y a personne à cet instant précis, personne d’autre dans ma voiture, et je reste persuadé que toi Jean-Claude, tu permets que je te tutoie puisque nous sommes désormais intimes, tu me parles, pour m’offrir matière à conférence pour les prochains congrès d’hypnose et thérapies brèves. Car tous les thèmes que tu nous offres, sont les thèmes abordés aux congrès de la CFHTB.
Et là, à bord de ma voiture, de retour sur Paris, j’allume, comme dans un rituel sabbatique, la radio sur France Inter (la radio de ceux qui ont quelque chose entre les oreilles disait-on), pour écouter, entendre, vibrer, illuminer mes neurones d’une couleur encore inconnue à mes yeux, ressentir jusqu’au plus profond de moi, la voix hypnotique, presque monocorde de Jean-Claude Ameisen, me raconter ses dernières découvertes scientifiques…
Et là, à ce moment précis, je range ma voiture pour ne point être dérangé dans ce monologue, où Jean-Claude s’adresse à moi, oui, à moi seul.
Oui, il n’y a personne à cet instant précis, personne d’autre dans ma voiture, et je reste persuadé que toi Jean-Claude, tu permets que je te tutoie puisque nous sommes désormais intimes, tu me parles, pour m’offrir matière à conférence pour les prochains congrès d’hypnose et thérapies brèves. Car tous les thèmes que tu nous offres, sont les thèmes abordés aux congrès de la CFHTB.
Ta musique chante juste, ton texte me donne le La pour nombre de mes prochaines interventions. Jusqu’à présent, mon thème principal était « toucher avec les mots, parler avec les mains », mais en te lisant, je pourrai rajouter « lire avec la musique » ? Quand je te lis, je vois ta voix, j’imagine le tempo que tu insuffles dans chacune de tes phrases, comme un thérapeute sait le faire, je ressens ta propre respiration, le ton si grave et pénétrant.
Alors oui, si tout praticien se doit de monter sur les épaules des géants, des savants, de ses maîtres, je sais dorénavant, que tu es l’un des nôtres, et ce serait avec une joie non dissimulée, si tu pouvais m’accompagner, me prêter ta main, me donner le La, à l’occasion d’un prochain congrès, où je me sens souvent si petit parmi les grands.
Le seul bémol à ta si juste partition, est le fait que dorénavant, et de par ton dernier livre, j’ai la certitude que je ne suis plus ton seul fan. Ma jalousie en prend un sacré coup. A présent, le samedi après le tennis, je sais que d’autres que moi, peut-être à bord de leur voiture, ou pas, s’arrêtent dans leur activité pour t’écouter et s’instruire. D’autres que moi qui ont quelque chose entre les oreilles…
Alors, soit sûr que pour ma prochaine intervention, et pour parodier Milton Erickson : «Et ta voix m’accompagnera»
Merci encore Jean-Claude pour ces Liens qui Libèrent
Alors oui, si tout praticien se doit de monter sur les épaules des géants, des savants, de ses maîtres, je sais dorénavant, que tu es l’un des nôtres, et ce serait avec une joie non dissimulée, si tu pouvais m’accompagner, me prêter ta main, me donner le La, à l’occasion d’un prochain congrès, où je me sens souvent si petit parmi les grands.
Le seul bémol à ta si juste partition, est le fait que dorénavant, et de par ton dernier livre, j’ai la certitude que je ne suis plus ton seul fan. Ma jalousie en prend un sacré coup. A présent, le samedi après le tennis, je sais que d’autres que moi, peut-être à bord de leur voiture, ou pas, s’arrêtent dans leur activité pour t’écouter et s’instruire. D’autres que moi qui ont quelque chose entre les oreilles…
Alors, soit sûr que pour ma prochaine intervention, et pour parodier Milton Erickson : «Et ta voix m’accompagnera»
Merci encore Jean-Claude pour ces Liens qui Libèrent